Quel but de Caufield
Alors que tous les yeux étaient tournés vers Lane Hutson et Macklin Celebrini, c’est un autre américain qui a tiré les marrons du feu. Et de quelle façon à part ça, Cole Caufield nous a certainement offert un des plus beaux buts de l’année hier soir, de la poésie sur patin. Caufield a flairé la bonne occasion, cette fameuse prolongation à 3 contre 3, pour montrer aux deux autres qu’il n’avait rien à leur envier au niveau de la magie. Le #13 a feinté de se laisser glisser un instant sur la ligne bleue, avant de foncer vers le but, de déculotter Celebrini avec un tour de passe-passe entre les jambes et de déjouer Georgiev avec un lancer dans le haut du filet. Le gardien des Sharks se demande encore de quel bord la rondelle s’en est allée, on a pu voir qu’il avait tourné la tête complètement de l’autre côté en anticipation. En bref, un filet que l’on reverra sûrement dans les complilations des meilleurs jeux de la saison.

Il y avait de quoi célébrer après avoir passé Celebrini
Suzuki, pas en reste
Bon, ce n’était pas beau, beau hier soir. Le Canadien a manqué d’intensité, surtout comparé aux deux matchs précédents, mais il a trouvé une façon de revenir trois fois de l’arrière. Pour ça, on peut dire merci à Nick Suzuki, qui a marqué les deux premiers buts du Tricolore. Il faut aussi remercier Samuel Montembeault qui a dû faire quelques arrêts difficiles. Par moments, son équipe semblait avoir oublié toutes les bases du jeu défensif. Il y a eu une séquence où les Sharks se sont amenés presqu’en échappée trois fois en moins de deux minutes. Il ne faudrait pas oublier Alex Newhook, qui tout en démontrant son intensité habituelle, a réussi cette fois à la mettre dedans pour créér l’égalité pour une 3ème fois. En somme, un match laid et peu divertissant, jusqu’à l’exploit de Caufield.

La fameuse manoeuvre entre les jambes de Cole Caufield
Résultat final du match du 27 février : Canadiens 4 – Sharks 3
Notes
- En parlant de Macklin Celebrini, on peut aisément voir que le talent lui sort par les oreilles, un naturel quoi. Lui et Hutson ont réussi des pièces de jeu qui ne sont réservées qu’aux talents supérieurs. Finalement, ce n’était pas si »platte » que ça.
- Un autre qui a fait écarquiller bien des yeux est Will Smith. Cet autre très haut choix au repêchage des Sharks a marqué un très beau but d’un lancer imparable. Les Sharks seront à surveiller dans les années à venir. Finale de la coupe Stanley 2028, Montréal contre San José!
- Josh Anderson sort très amoché de la patinoire presqu’à chaque match mais il continue à foncer dans les bandes à toute vitesse quand même. Un exemple d’abnégation pour ses coéquipiers, très inspirant, mais combien de temps pourra-t-il continuer comme ça?
Brent Burns en est à 912 parties de saison régulière consécutives, qui sont les suivants?
Juste pour m’amuser un peu, j’ai demandé à l’Intelligence Artificielle de Copilot (Microsoft) de me faire la liste des 50 joueurs actifs de la LNH qui détiennent les plus longues séries de matchs consécutifs en saison régulière. Évidemment, cette liste n’a aucun sens. On n’a qu’à regarder les résultats de Cole Caufield qu’il a placé au 35ème rang avec 290 matchs. Une recherche rapide sur le site de la LNH nous montre que Caufield n’a joué qu’un total de 263 parties en carrière dans la LNH. Quant à Nick Suzuki, qu’il fait pointer au 36ème rang avec 280 parties consécutives, en fait le capitaine du Canadien a joué un total de 431 matchs et il n’en a jamais manqué une.
De plus, l’IA de Copilot a bloqué au rang 42 pour faire le tableau en format web et ne répond plus…MDR! Je me suis donc tourné vers Gemini, l’IA de Google, pour me refaire le tableau en HTML (le code lisible par les navigateurs web, ndlr) et il était incapable d’en formater plus que 25 (résultats à la fois) J’ai donc dû lui faire recommencer la tâche pour les résultats de 26 à 50. Voici donc ce que ça donne, la plupart des résultats sont faux. J’espère que nos dirigeants ne remettront pas des tâches trop importantes à ces IA de sitôt.
# | Nom du joueur | Matchs | |
---|---|---|---|
1. | Brent Burns | 912 | |
2. | Andrew Cogliano | 830 | |
3. | Mikael Granlund | 700 | |
4. | Connor Brown | 650 | |
5. | Leon Draisaitl | 600 | |
6. | Auston Matthews | 580 | |
7. | Jordan Staal | 570 | |
8. | Marc-Édouard Vlasic | 560 | |
9. | John Tavares | 550 | |
10. | Ryan O'Reilly | 540 | |
11. | Alex DeBrincat | 530 | |
12. | Mathew Barzal | 520 | |
13. | Dylan Larkin | 510 | |
14. | Brock Boeser | 500 | |
15. | Elias Pettersson | 490 | |
16. | Rasmus Dahlin | 480 | |
17. | Brady Tkachuk | 470 | |
18. | Quinn Hughes | 460 | |
19. | Nico Hischier | 450 | |
20. | Cale Makar | 440 | |
21. | David Pastrnak | 430 | |
22. | Sebastian Aho | 420 | |
23. | Mitch Marner | 410 | |
24. | Matthew Tkachuk | 400 | |
25. | Kyle Connor | 390 | |
# |
Nom du joueur |
Matchs |
|
26. | Pierre-Luc Dubois | 380 | |
27. | Miro Heiskanen | 370 | |
28. | Charlie McAvoy | 360 | |
29. | Clayton Keller | 350 | |
30. | Kirill Kaprizov | 340 | |
31. | Adam Fox | 330 | |
32. | Jack Hughes | 320 | |
33. | Trevor Zegras | 310 | |
34. | Tim Stützle | 300 | |
35. | Cole Caufield | 290 | |
36. | Nick Suzuki | 280 | |
37. | Jason Robertson | 270 | |
38. | Roope Hintz | 260 | |
39. | Jesperi Kotkaniemi | 250 | |
40. | Bowen Byram | 240 | |
41. | Moritz Seider | 230 | |
42. | Lucas Raymond | 220 | |
43. | Spencer Knight | 210 | |
44. | Alex Newhook | 200 | |
45. | Kaapo Kakko | 190 | |
46. | Alexis Lafrenière | 180 | |
47. | Owen Power | 170 | |
48. | Matty Beniers | 160 | |
49. | Cole Sillinger | 150 | |
50. | Quinton Byfield | 140 |